Sa carrière / Films / Et Satan conduit le bal
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Extraits de critiques

Pour son premier film, que "parraine" Roger Vadim, Grisha M. Dabat fait lui aussi son exercice de psychologie. Il ajoute une nouvelle variation aux thèmes de "personne n'aime personne", "l'argent ne fait pas le bonheur", etc. ; il exploite ce qui fut en vogue et très vite se démode dans le luxe lassant des blanches villas, des soirées galantes et des voitures de sport.
Yvonne Baby, Le Monde 1962

Roger Vadim, qui a produit le film, applique une fois de plus sa formule des chasses-croisés sentimentaux de couples qui se font et se défont sans amour en ne parlant que d'amour et qui appartiennent au monde du cinéma dans lequel il évolue... Comme dans "Et Dieu créa la femme" Vadim fait dévêtir la femme de son cœur, Catherine Deneuve, dès les premières images dans une scène avec Jacques Perrin. Cela n'est pas sans rappeler, par ses intentions, la scène du début du film aussi où Curd Jürgens découvrait Brigitte Bardot nue. Et le spectateur lui aussi. Six ans après, Vadim n'a pas changé...
Ciné-Revue 1962

 


 

 

 

1962
Couleurs
1h20
Rôle de Manuelle

Réalisateur : Grisha M. Dabat
Acteurs : Françoise Brion, Bernadette Laffont, Jacques Doniol-Valcroze, Henri-Jacques Huet, Jacques Perrin, Jacques Monod
Scénario : Grisha M. Dabat, Roger Vadim
Photo : Raoul Coutard
Musique : Cl. Vasori

Résumé : Au soleil de Collioure, une tendre demoiselle aime un bel adolescent qui aime une femme fatale qui aime un écrivain narquois qui aime une jeune et malicieuse personne qui... le lui rendrait bien si l'amour était possible, s'il n'y avait Satan.

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