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Fiche
technique
| Sa carrière | |
| Films Festivals et honneurs Partenaires Propos sur le cinéma Autres activités |
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| Ses interviews | |
| Ses portraits | |
| Sa personnalité | |
| Son univers | |
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Extraits d'interviews de Catherine Deneuve
| [Le scénario] traite d'un sujet simple d'une façon originale, avec un suspense gonflé et surtout un ton. J'aime ce personnage de mère un peu dure, mais qu'on sent vulnérable, habitée par une douleur jamais apaisée. Elle a vécu l'abandon, elle s'est construite sur un manque grave. Bien sûr, elle s'est arrangée avec des masques, elle a élevé sa fille librement, comme sa propre mère l'avait fait avec elle. Ces contradictions ressemblent à la vie, elles me touchent et me semblent vraies. C'est aussi un beau film sur la transmission. |
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Catherine Deneuve, Le Journal
du Dimanche 2009
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| La question de savoir qui jouerait ma fille était une condition dans mon engagement. J'ai pensé d'emblée à Marina. Elle m'avait impressionnée au théâtre dans Phèdre. Ce genre de rencontre est d'autant plus intense qu'on partage des scènes d'émotion pour lesquelles on doit apporter une part de soi. |
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Catherine Deneuve, Le Journal
du Dimanche 2009
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Extraits d'interviews
de Julie Lopes-Curval
On peut deviner que Martine n’a que rarement évoqué sa mère, son enfance. Mais elle n’a jamais pu quitter sa ville natale, elle ne peut pas partir : c’est maladif, une peur panique. Elle a su préserver les apparences, elle a une vie de famille, c’est un médecin respecté, certainement très à l’écoute, très doux. Elle a plus de mal avec ses proches. C’est une femme fragile qui se protège. |
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Julie Lopes-Curval, Dossier
de presse du film
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Audrey souffre de la rigidité de sa mère, sans pour autant l’avoir rejetée totalement. Elle sent qu’il y a une blessure en elle, qu’elle imagine autour de l’abandon de la mère. Elle ne soupçonne pas l’ampleur de la blessure, à quel point leur relation est un malentendu. On est ici au-delà de la psychologie, parce que c’est toujours plus compliqué que la psychologie, et c’est comme ça que j’ai demandé à mes actrices de le jouer. |
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Julie Lopes-Curval, Dossier
de presse du film
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J’ai écrit en m’inquiétant de qui allait être Martine. J’ai très vite pensé à Catherine Deneuve. Je lui ai envoyé le scénario via son agent, j’ai attendu, elle a accepté de me rencontrer. On s’est vu au Lutétia, j’avais une trouille bleue, et je m’étais dit une chose : si mon admiration pour elle m’inhibe, je ne pourrais pas travailler avec elle. Et puis tout s’est passé de façon très simple. C’est quelqu’un de direct. Elle arrive sur le plateau avec son expérience impressionnante, mais elle se laisse diriger, elle ne demande que ça. C’est une femme attentionnée et très exigeante. |
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Julie Lopes-Curval, Dossier
de presse du film
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J’avais très envie de travailler avec Marina Hands, et je savais que Catherine Deneuve en avait aussi le désir. Je crois qu’elles sont très crédibles en mère et fille. Elles se sont beaucoup appréciées. |
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Julie Lopes-Curval, Dossier
de presse du film
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[A propos de la scène de dispute]
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Julie Lopes-Curval, Dossier
de presse du film
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Extraits d'interviews de ses partenaires
| [La rencontre avec Catherine Deneuve] est une des rencontres les plus marquantes de ma vie professionnelle. J'ai une admiration infinie pour elle. C'est quelqu'un d'attentif, de protecteur, de généreux. Catherine est vraiment amoureuse de son métier. Pour elle, c'était épouvantable de jouer ce personnage dur et fermé. |
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Marina Hands, Direct Matin
2009
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| [A propos de la scène de
dispute avec Catherine Deneuve] On était dans un vrai plaisir d'actrices de jouer cette scène au plus juste. Mais on avait aussi une certaine fébrilité. Dans les moments intenses on avait une attention particulière l'une pour l'autre et on sortait assez vite des personnages. |
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Marina Hands, Paris Match
2009
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| Aux reconstitutions d'époque, empesées sans doute à dessein, on peut préférer les scènes contemporaines du film, surtout parce qu'elles réunissent deux actrices incroyablement musicales et inspirantes, Catherine Deneuve et Marina Hands. |
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Marie Sauvion, Le Parisien
2009
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| Le face-à-face entre Marina Hands et Catherine Deneuve est d'une rare intensité, entre désir de s'aimer et impossibilité de se comprendre, élans de tendresse et disputes où les vérités font mal à entendre. |
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Journal des Cinémas
Gaumont Pathé 2009
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2009 |
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Réalisateur : Julie Lopes-Curval
Acteurs : Marina Hands, Marie-Josée Croze, Michel Duchaussoy,
Jean-Philippe Ecoffey, Gérard Watkins
Scénario : Julie Lopes-Curval et Sophie Hiet
Photo : Philippe Guilbert
Musique : Patrick Watson
Résumé : Dans les années 50, Louise a quitté le domicile conjugal alors que ses enfants étaient encore jeunes. Elle n’a plus donné signe de vie. Sa fille Martine est restée dans la petite ville de bord de mer où elle est devenue médecin. Aujourd’hui Audrey, la fille de Martine, la trentaine indépendante, revient rendre visite à ses parents. Elle va trouver par hasard un cahier ayant appartenu à sa grand-mère, un journal qui pourrait enfin expliquer son départ.
Photos du film
| Documents associés | ||
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