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[Le premier livre lu]
Ce doit être un ouvrage de la comtesse de Ségur. Mais, avant cela, j'ai lu de nombreuses bandes dessinées : "King, le roi de la police montée", "Mandrake, le magicien" qui ressemblait beaucoup à mon père. Je crois que je lisais bien moins que mes enfants ne lisent aujourd'hui. Je passais bien plus de temps à jouer avec mes deux sœurs.

J'achète énormément de livres. Chez moi, j'en ai partout et ceux que je ne lis pas sont comme des reproches. Je consomme beaucoup de journaux et ils m'écartent des livres. Si j'étais un livre, je voudrais être dévorée...

Aujourd'hui, j'achète beaucoup plus de livres que je n'en lis. [...] Mais je n'ai pas de livres de chevet. D'ailleurs, je ne relis jamais un livre que j'ai déjà lu.

J'adore les livres, les mots, les caractères, le graphisme, les couvertures, le papier. Le livre est pour moi un objet magique, je l'aime comme je peux aimer un tableau. Et si j'achète des livres que je n'ai pas le temps de lire, parce que je lis beaucoup moins que je ne le voudrais, je m'assure que je les lirai un jour. J'ai besoin de leur présence, de savoir qu'ils sont là, au cas où j'aurais besoin d'eux.

Quand je commande un livre qui n'arrive pas, ou dont on me dit qu'il est épuisé, ça me touche beaucoup, il me le faut, et je suis capable de me donner énormément de mal pour l'obtenir. Ce livre, quand je veux l'avoir, me devient indispensable.

C'est un vrai besoin, un besoin de le posséder - ou d'être possédée par lui ! Je ne peux pas partir en voyage sans en emporter avec moi. Et quand je peux lire autant que je le veux, le plaisir que j'y prends est immense. Mais il faut que je sois coupée de mon univers, de mes enfants, de ma maison. Il faut que je me rende entièrement disponible.

J'aime le calme, le silence. Et comme, en même temps, je n'aime pas beaucoup bavarder, que je ne supporte pas de me retrouver avec des gens avec qui je n'ai pas envie d'être - c'est quelque chose qui me fait vraiment déprimer, qui peut m'affecter profondément - alors je reste seule, avec un livre. C'est une façon d'être seule et de se supporter... J'aime beaucoup les lettres, les correspondances. Il y a quelque chose de très troublant à découvrir une intimité et à se dire, en même temps, que ces textes n'ont peut-être pas été écrits pour être lus. Il y a une vraie violence, dans cette sensation d'intrusion...

J'achète moi-même beaucoup de livres, des romans, mais je n'ai pas tellement le temps de les lire parce que je lis surtout ce qui se rapporte à ma profession.

J'accorde souvent une priorité aux scénarios que l'on m'adresse. Cela prend du temps. Et puis, je lis chaque jour la presse, les revues. Je regrette de ne pouvoir accorder que peu de temps aux livres. Plusieurs sont sur ma table. Ils attendent. Ils ont raison, je les lirai.

[Je lis] toute la presse en retard dont je n'ai pas eu connaissance, en évitant soigneusement les pages sportives. Bien sûr, les revues spécialisées sur les plantes, et puis des scénarios. J'emporte aussi un roman, mais le plus souvent il reste dans mon sac.

Je lis un quotidien par jour, des magazines sur la déco, les jardins.

Je lis beaucoup, mais, là encore, le temps me manque. Au Kenya, où il fait nuit à six heures, j'ai pu en profiter. D'abord les journaux, que je recevais de France tous les jours, puis Doris Lessing, et des romans, surtout anglo-saxons. Mais je ne lis jamais en pensant à un rôle possible, c'est un réflexe que je n'ai pas.

Je suis aussi une passionnée des revues consacrées aux jardins dont beaucoup sont en anglais. Une passion qui me demande beaucoup de temps.

C'est aussi parce que j'ai si peu de temps de disponible que ce qui me reste, je préfère le consacrer à la lecture de journaux d'information ou à tous ces livres qui s'accumulent sans que je puisse les ouvrir.

Il y a beaucoup de livres que j'achète et que je ne lis pas. J'adore les livres, j'en lis quelques-uns, mais il y a beaucoup de livres que je n'ai pas lus.

Les livres me rassurent. Je ne suis pas quelqu'un qui fait un travail de réflexion dès qu'il lit, je ne suis pas une intellectuelle. Je suis simplement une cérébrale. Ce n'est pas pareil.

Cette solitude choisie par moi-même ne m'ennuie jamais. Il m'arrive de passer des heures la nuit et le jour, comme ça, à ne rien faire, à traîner, à regarder par la fenêtre, à perdre mon temps. Alors je feuillette des journaux, je lis quelquefois des livres mais pas souvent. J'adore regarder des vieilles revues, voir des photos d'avant, relire des vieux textes. Ca me distrait beaucoup.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



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