Sa vie / Famille / Christian Vadim
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Ce qu'en a dit Catherine Deneuve...

Son enfance

Aujourd'hui je regrette d'avoir eu un fils aussi jeune. D'abord parce que je crois que je n'ai pas été une très bonne mère quand j'étais jeune, en tout cas pas la mère que j'aurais aimé être. Et ensuite parce qu'il y a une époque que je n'ai pas connue dans ma vie, la période entre l'adolescence et la maternité.

Je vois mon fils Christian tous les jours, même quand je travaille, sauf quand je suis en voyage. En Angleterre, il me manque beaucoup. Il connaît d'ailleurs sa nurse aussi bien qu'il me connaît. La meilleure chose que je puisse lui donner, c'est un monde privé, stable, au milieu de sa famille et d'amis.
Catherine Deneuve, citée dans Ciné Télé Revue 1965

Il est très gai, doté de pas mal d'humour et je serai fière de l'avoir bientôt pour compagnon de sortie... Je sais qu'il m'échappera un jour et même je l'espère bien. Voir les gens heureux ça me fait toujours plaisir - même s'ils le sont sans moi. Mais je serais malheureuse s'il prenait le parti d'aller vivre loin, très loin.

Christian a une passion pour les animaux. J'ignore quelle forme elle prendra. Mais plusieurs fois, il m'a dit qu'il aimerait s'occuper d'animaux dans des réserves lointaines. Ce n'est, peut-être, qu'un propos en l'air.

Je suis pour l'autorité vis-à-vis des enfants, mais avec lui c'est fini, il est trop grand, il gagne sa vie. Il ne me demandait qu'un prêt. Quand même c'est formidable, ce qu'il est décontracté, je n'aurais jamais osé déranger quelqu'un en plein travail. En même temps, je trouve ça bien qu'on ose quand même. [...] Ah oui, Christian, quelle décontraction. II est réellement charmant mais il faut faire attention aux enfants charmants, on a tendance à leur céder beaucoup trop.


Quand on a des enfants ou même un enfant, on est obligé de faire des efforts. Je crois qu'il faut faire des efforts, pas démesurés parce que si ça coûte trop, on craque, mais les enfants obligent par leur comportement, leur vie à eux, leur exigence, à ne pas se laisser aller, à ne pas s'écrouler.
Catherine Deneuve, Marie Claire 1984

J'ai été attentive à l'éducation de mes enfants. J'ai fait sûrement des erreurs mais j'ai été attentive. J'ai essayé d'être un peu comme mes parents ont été avec moi.

Je ne fête pas les anniversaires, surtout pas les miens, ceux de mes enfants bien sûr, lorsqu'ils étaient petits, lorsque cela signifiait quelque chose, mais plus maintenant, ou du moins pas systématiquement.

Ces derniers temps, j'avais des rapports que je trouvais froids, lourds, faux avec mon fils que pourtant j'adore. Eh bien, j'ai pris la décision d'arrêter ce gachis. Nous nous sommes séparés, il est allé de son côté, moi du mien et je crois que c'était nécessaire, bien, et pour l'un et pour l'autre.

J'essaie d'apprendre le goût du bonheur à mes enfants, c'est le plus important. Ca, et certaines lois, certaines règles de conduite.

Les acteurs ont tendance à construire leur vie autour de ce qu'ils sont : on pense à soi tout le temps, on s'explique sur soi. Avoir des enfants force à s'occuper d'autre chose que de soi. C'est un métier où on peut tourner mal, surtout les actrices. Les problèmes du quotidien, d'école, de menu pour le dîner, m'ont fait du bien, m'ont aidée à garder un sens des hiérarchies, même si je ne me suis pas occupée de mes enfants en permanence.
Catherine Deneuve, Elle 1988

Malgré les absences dues à mon métier, j'ai été présente, même loin à l'étranger, pour leur apprendre à s'interroger, à développer un esprit critique.

J'ai dit à mes enfants que ce qui comptait, c'était son intime conviction. C'était le courage de dire ou de penser des choses personnelles, même si elles sont différentes des modèles et même pour une jeune fille. Pour tirer un bon parti de soi-même, il faut essayer d'être en accord avec ce que l'on est profondément. C'est très difficile pour des adolescents et pour tout le monde. Je crois que je me regarde avec assez de lucidité.

Christian aura bientôt quatorze ans. Il est grand, beau et doté de pas mal d'humour... Je pense toujours à lui avec fierté. [...] C'est passionnant d'observer comment un enfant se met à grandir d'un coup, à s'approcher de l'adolescence. Christian, il y a cinq ans, était un "petit garçon" têtu, adorable, raisonneur. A présent, je le regarde avec la même tendresse, mais aussi avec un intérêt différent : il sera bientôt un jeune homme... Nous avons les meilleurs rapports ; il se confie volontiers à moi ; il me fait part de ses projets, de ses désirs.

Mes enfants se rendent compte de la réalité. Ils ont été privilégiés, ils ont voyagé jeunes, ils ont été aimés, mais je ne pense pas qu'ils aient été faussés par le confort matériel dans lequel ils ont été élevés.

Il y a des choses sur lesquelles je suis très stricte. Mes enfants vous diront qu'ils n'ont jamais pu boire de Coca-Cola à la maison, ce n'est pas libéral ! Mais sur des signes extérieurs de reconnaissance, sur le vêtement, sur la coiffure, sur le style, je les laisse se trouver. C'est tellement difficile d'être un adolescent.

Les vacances d'été sont une habitude de jeunesse que j'ai perpétuée avec mes enfants. Je me suis toujours efforcée de les prendre avec eux durant les congés scolaires.

Françoise adorait mon petit garçon qui malheureusement n'a pas beaucoup de souvenirs de Françoise. Le dernier été que nous avons passé ensemble, Christian avait trois ans et demi.
Catherine Deneuve, Livre "Elle s'appelait Françoise" 1996

Sa carrière d'acteur

Je n'étais pas tellement d'accord que mon fils Christian fasse du cinéma. Mais ma position a provisoirement évolué... Christian est majeur et il a choisi. A partir du moment où j'ai pu avoir de l'influence sur lui, j'ai essayé de le décourager d'entrer dans ce monde parce que je suis bien placée pour savoir qu'il est très difficile, très aléatoire. Ca l'est encore plus pour quelqu'un qui a des parents dans le métier; Et, là, je place la barre bien haut. A travers moi, il a peut-être eu une vision un peu fausse de la profession. Travailler est une chose, réussir en est une autre.
Catherine Deneuve, citée dans Le Soir Illustré 1988

J'estime que son père s'est tellement manifesté par voie de presse pour se justifier d'avoir fait tourner son fils que je ne dirai rien. Moi, j'ai élevé Christian, et il faisait des études. Il était question qu'il fasse un stage de mise en scène, et voilà qu'il fait le film comme acteur. Résultat : il arrête ses études. De toute façon, Vadim parle pour deux et même pour trois… [éclats de rire].

C'est un métier très difficile, aujourd'hui plus que jamais. J'espérais qu'il aurait vu, compris les difficultés... Mais, malgré tout, il a été tenté - il faut dire qu'il a été tenté par le Diable, alors évidemment... Mais je ne tiens pas tellement a m'étendre sur ce sujet. C'est sa vie, sa nouvelle vie, Je suis bien obligée de l'admettre.

Mes enfants étaient majeurs quand ils ont décidé de leur voie, mais je n'étais pas très favorable à leur choix. C'est un métier aléatoire et difficile. Je ne parle même pas de réussir, mais simplement d'arriver à travailler. Pour des jeunes de 20 ou 22 ans, garçons ou filles, c'est terrible de rester sans travail. S'ils ne sont pas très structurés sur le plan de leur organisation de vie, ils peuvent se retrouver paumés. [...] Il y a de plus en plus d'acteurs et d'actrices et de moins en moins de spectateurs dans les salles. On n'a plus le droit à l'insouciance.

Croyez que j'ai tout fait pour les en dissuader : surtout mon fils.

J'espère qu'il va avoir de beaux rôles [...]. C'est un beau caractère, très solaire. Mais je ne change pas d'avis : j'aurais préféré qu'il fasse autre chose. En fait, je ne lui en veux pas. J'en veux à son père qui l'a poussé là. Christian voulait devenir assistant. J'aurais été moins inquiète à le savoir de l'autre côté de la caméra.

Au théâtre la présence physique, charnelle est trop forte et je suis trop tendue pour pouvoir vraiment regarder la pièce... Même encore aujourd'hui, lorsque je vais voir au théâtre des gens que je connais et que j'aime, je souffre tellement à l'idée qu'il y ait un problème que cela m'est presque insupportable d'être dans la salle.

Bien sûr que je suis inquiète ! Parce que je connais ce milieu à fond. Je connais ses pièges, ses difficultés, ses tentations. Mais, encore une fois, le cheminement de mes deux enfants prouve que chacun suit sa propre logique, son propre rythme. Christian s'est plutôt orienté vers le théâtre, Chiara joue dans des films d'auteur : ils ont trouvé leur voie. Et même si on a toujours envie de protéger ses enfants, je me garde bien d'intervenir dans leur parcours.

Les parents voudraient toujours éviter à leurs enfants de souffrir. Je connais les pièges, les souffrances de ce métier, même si je sais que l'expérience de Chiara au cinéma ou celle de mon fils, qui joue en ce moment au théâtre n'ont rien à voir avec mon expérience. J'ai beaucoup vécu avec mes enfants, ils m'ont souvent accompagnée sur les tournages. Se consacrer uniquement à eux n'est pas sain non plus. Les parents doivent accompagner les enfants, et les enfants doivent accompagner leurs parents. On en veut toujours à ses parents, ils en font trop ou pas assez... On doit se débrouiller avec ça. Ensuite, on essaie de faire mieux avec ses propres enfants. De toute façon, on n'est jamais de bons parents.

Ca ne m'emballait pas du tout de voir mes deux enfants devenir acteurs, c'est très difficile pour les enfants d'acteur de réussir dans cette profession et d'y être heureux.
Catherine Deneuve, citée dans L'Est Républicain 2002

Je suis fataliste... On fonctionne beaucoup par imitation. Le cinéma, c'est très attractif quand on le voit à travers ses parents et que ça marche bien pour eux, c'est un miroir aux alouettes. Comme parent, je n'aurais pas imaginé ça : c'est un métier trop difficile, trop aléatoire. Un acteur qui ne tourne pas ne peut plus rien faire, ce n'est pas comme un écrivain qui n'est pas publié...

J'ai marié mon fils, comme je vous le disais à l'instant. J'étais d'ailleurs assez surprise, Christian ne m'en avait pas parlé... Et moi qui pensais qu'il était du genre à ne jamais mettre une bague au doigt ! Néanmoins, j'étais très heureuse. J'aime beaucoup sa femme.

Ce qu'il a dit sur Catherine Deneuve...

La mère


Ma mère était plus sévère que mon père, d'autant plus que j'étais son premier enfant. [...] Je devrais lui demander des dommages et intérêts pour avoir essuyé les plâtres ! Je ne le fais pas, car elle était également mon meilleur avocat ! Lorsque j'étais petit et que je me faisais punir, elle me défendait sur tous les coups.
Christian Vadim, Voici 1993

Ma mère a parfaitement su nous protéger ma sœur et moi. Elle m'a donné un certain équilibre, une vraie joie de vivre, que demander de plus ? Je suis quelqu'un de compréhensif, de tolérant, je comprends la vie des autres et avant tout celle qu'a menée ma mère. Notre relation a parfois souffert d'un certain… décalage, du fait du métier que nous exerçons, et parce que l'existence que nous menons est complètement différente de celle de la majorité des gens. Il arrivait que ma mère doive s'absenter pendant deux ou trois mois. Lorsque nous marchions dans la rue, les gens se retournaient sur son passage. Cet aspect-là des choses est difficile à gérer pour un enfant, c'est vrai. Mais lorsque nous étions tous à la maison, notre vie était en tous points identique à celle de tous les autres parents et enfants. […] on dînait ensemble, on regardait la télé ensemble… L'important est de trouver son propre équilibre entre ces deux facettes totalement différentes de l'existence. Et ma mère a su nous y aider.
Christian Vadim, Oh La 2000

Comme elle, je me livre peu. Je suis une vraie forteresse. Nous gardons nos secrets, nos blessures, nos joies.
Christian Vadim, Paris-Match

Maman n'est pas, comme on le dit, une femme de glace. Elle a peut-être de la rigueur, mais elle est pleine de vie, de tendresse, de passion et de folle gaieté.
Christian Vadim, Paris-Match

[comparant Jane Fonda à Catherine Deneuve]
Elle ont toutes les deux une pêche et une volonté incroyables. Quand elles ont quelque chose dans la tête, rien ne peut les arrêter. Elles ont une formidable détermination.
Christian Vadim, Paris-Match

Ma mère est une star, mais c'est avant tout une mère. Son instinct est de me protéger. Elle m'a donc mis en garde. […] Contre les dangers et la fragilité de ce métier. Elle m'a dit que j'allais avoir des casseroles à traîner parce que mes parents étaient célèbres. Que je n'étais pas forcément un bon comédien ? Qu'il y avait 98 % de chômage. Que malgré quelques grands instants de bonheur, c'est un métier plein de magouilles, de dérision et de déceptions.

Christian Vadim, Paris-Match

Elle en voulait à mon père d'être arrivé comme le Messie, avec un cadeau empoisonné. Après s'être cassé la tête à élever un môme pendant vingt ans, un Roi Mage était arrivé et avait tout chamboulé. Elle lui en a voulu pour ça et je la comprends ! Finalement, avec le recul, je me rends compte qu'ils avaient tous les deux raison. Lui pour m'avoir fait découvrir ça, et ma mère pour m'avoir protégé.
Christian Vadim, Questions de Femmes 2003

Elle ne me décourageait pas, elle ne m'encourageait pas et ne m'aidait surtout pas. Avec toutes les connexions qu'elle avait, elle aurait pu me présenter n'importe quel producteur ou metteur en scène, au moins m'introduire...
Christian Vadim, Questions de Femmes 2003

Je ne sais pas ce que sera ma vie, mais je sais que j'ai une bonne étoile qui me protège des cailloux qui tombent du ciel : ma mère.
Christian Vadim, Paris-Match


L'actrice


Lorsque ma mère rentrait très nerveuse après une journée de tournage, je ne comprenais pas. Je sais aujourd'hui que les comédiens ont des angoisses. Ma mère a la réputation, dans le travail, d'être une femme plutôt dure, un peu autoritaire. Ce qu'on ne sait pas, c'est qu'elle aussi meurt de trac.
Christian Vadim, Paris-Match

Ma mère n'aime pas parler du métier, moi non plus d'ailleurs. Nous n'avons commencé à en discuter ensemble que très récemment. […] Nous avons sans doute mûri l'un et l'autre, ce qui fait qu'il nous est peut-être moins difficile d'en parler aujourd'hui. Il nous est facile de parler de brocante, de meubles, de fleurs, d'expositions, de films à voir… Mais de nos carrières respectives, non. […] Aujourd'hui je me rends compte qu'il est agréable de parler avec ma mère et ma sœur de nos projets respectifs, des films que nous avons envie de faire ou qui nous ont plu… Agréable, oui… Parce que nous avons en commun une même passion pour ce métier. Si j'étais garagiste, je crois que cela ennuierait très vite ma mère de m'entendre parler de mécanique. Mais j'adore bricoler. Alors, de temps en temps, je l'embête avec ça.
Christian Vadim, Oh La 2000

Je ne vais pas voir ses films, ça me dérange. Au-delà des scènes d'amour ou de nudité qui contribuent au malaise, je ne supporte pas qu'elle joue un jeu, qu'elle prêche le faux. Je n'arrive pas à faire la part des choses.
Christian Vadim, Libération 1998

[A la question "A quand un film avec votre mère ?"]
Nous avons beaucoup de pudeur l'un envers l'autre. Je ne suis ni en demande ni dans le refus. Ce n'est pas une démarche que je vais provoquer. Mais pourquoi pas ?
Christian Vadim, Gala 2003

Je suis un autodidacte. J'ai dû me débrouiller seul. Ma mère ne voulait pas que je le fasse, on ne parlait jamais du métier. Depuis 4-5 ans, ça va un peu mieux ! J'ai tourné avec elle chez Ruiz ; j'avais un petit rôle dans sa série télé "Les liaisons dangereuses" ainsi que "Marie Bonaparte" de Benoît Jacquot. Se retrouver sur les mêmes plateaux nous a assagi sur ce domaine.
Christian Vadim, Le Soir 2003

La star


Je ne voulais surtout pas qu'on sache que j'étais le fils de Catherine Deneuve et de Roger Vadim. Comme tous les mômes, je ne voulais pas être différent. Je refusais que maman vienne m'attendre à la sortie de l'école. Dans la rue, je marchais toujours derrière elle. Je ne comprenais pas l'attention démesurée qu'on lui portait. J'étais toujours choqué par la familiarité, voire l'agressivité des gens à son égard comme envers toutes les célébrités. Parfois, dans les restaurants, dans la rue, certains l'interpellent par son prénom, la tutoient comme s'ils la connaissaient depuis toujours. Je comprends maintenant qu'elle ait tant voulu se protéger et garder une distance avec les autres. Je lui suis très reconnaissant de nous avoir, ma sœur Chiara et moi, tenus à l'écart de sa vie publique.
Christian Vadim, Paris-Match

Pour rien au monde je ne voudrais être une star. Il y a trop d'obligations. Je vois ma mère. Cela lui mange tout son temps et toute son énergie. Quand on est exigeant avec soi-même comme elle l'est, on n'arrête pas une seconde.
Christian Vadim, Paris-Match

[à propos de la gloire des enfants de stars]
Ils en héritent comme un fils d'industriel hérite de l'usine de papa ou un fils de boucher de la boucherie familiale. A cette différence près que le talent n'est pas un héritage. On hérite seulement d'un nom. Ce qui est difficile c'est d'en faire quelque chose. [...] Je suis fier de mon nom mais je n'ai pas la rage de vaincre, d'arriver. Je n'ai aucun sens de la compétition.
Christian Vadim, Paris-Match

Enfant, je tenais absolument à être comme les autres. Je ne voulais pas qu'elle vienne me chercher à l'école. Quand cela arrivait, je marchais loin derrière elle, parce que je ne supportais pas l'attitude des gens. Adolescent, c'était pareil. J'ai commencé à supporter cela il y a quatre, cinq ans.
Christian Vadim, Questions de Femmes 2003

 

Fils de Catherine Deneuve et Roger Vadim

Né le 18 juin 1963 à Paris

Deux enfants : Igor né le 18 septembre 1987 et Lou née le 4 avril 2010.

Comédien

Christian tourne son premier film ("Surprise-party") en 1983 sous la direction de son père, à la désapprobation de Catherine Deneuve. Depuis il mène sa carrière d'acteur assez tranquillement, avec une prédilection pour le théâtre.

Films avec Catherine Deneuve

Le temps retrouvé (1999)

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